Et vlan ! Je viens d’avoir 60 ans ! Je viens d’entrer dans ce qu’on désignait autrefois par « le 3ème âge » et qu’on désigne pudiquement aujourd’hui par « les seniors ». À cette occasion, S. , ma binôme préférée, a eu la gentillesse et la délicatesse de m’offrir un « bon pour » une nouvelle montre ! J’ai donc eu toute liberté pour choisir mon futur garde-temps (en restant dans un budget « raisonnable » !). J’ai donc eu l’idée de vous proposer ce billet pour vous expliquer pourquoi j’aime plonger avec une montre (en plus de mon ordinateur), l’historique de mes « plongeuses », et la démarche de choix qui m’a conduit à choisir ma nouvelle compagne de poignet. Peut-être cela pourra vous aider si vous êtes vous-mêmes en train de choisir une montre, ou cela vous donnera envie de passer à l’acte !
Matériel
Quelques trucs en vrac pour réussir de belles vidéos sous-marines
À la suite de la publication de mon article précédent relatant ma croisière plongée en Mer Rouge à la Toussaint 2022, j’ai réalisé cinq montages vidéo à partir des images que j’ai pu capturer lors de ces immersions magiques. Comme à mon habitude, j’ai publié ces montages sur ma chaîne YouTube, et j’ai reçu plusieurs commentaires assez laudatifs quant à la qualité des images, et des vidéos en elles mêmes (ce qui fait toujours plaisir, c’est mieux que le contraire !). Étant totalement autodidacte dans le domaine, et me considérant comme un piètre vidéaste, je viens donc vous partager ici les trucs et les astuces que j’ai pu apprendre sur le tas afin que vous soyez demain capables de monter vos propres vidéos sous-marines. Ce post s’adresse donc aux vidéastes débutants qui pourront ainsi profiter de me petite expérience, il est clair que les photographes et caméramen expérimentés n’y apprendront que peu de choses ou rien du tout !
Mon nouveau (super) sac de plongée (enfin j’espère !)
Le sac de plongée est un de nos compagnons les plus discrets, on part toujours avec lui, il héberge nos habits de lumière, et pourtant, on en parle peu… Parmi les questions qui me sont le plus souvent posées, on retrouve toujours les sempiternelles « Quelle stab ? », « Quel ordi ? » ou « Quel détendeur ? »… Même les revues de plongée ne consacrent que très rarement un article sur cet accessoire pourtant indispensable (ou alors, pour « servir la soupe » et promouvoir un article d’un fabricant, et, depuis la disparition du magazine « Plongeurs International », on ne trouve plus de tests de matériel dans la presse ou sur Internet…). J’ai récemment dû remplacer mon vieux sac, J’ai donc eu l’idée de vous faire partager l’historique de mes sacs de plongée, ce à quoi j’ai dû faire face pour choisir, le choix que j’ai effectué (et qui sera très certainement différent du vôtre)… Encore une fois, ce billet n’est en aucun cas la promotion d’un article d’un quelconque fabricant, je tiens à bien le préciser !
Trucs et astuces : le bon rinçage
En cette période pré-hivernale, pour beaucoup d’entre nous, c’est le moment de remiser le matériel, tandis que d’autres continuent à plonger en eau plus froide ou en eau douce. Néanmoins, le matériel doit être correctement entretenu. Naturellement, nous pensons toutes et tous en premier lieu à la combinaison de plongée, …
Vous êtes chaussons ou botillons ?
Si il y a bien un accessoire dans notre équipement de plongée dont on ne parle jamais ou presque, c’est bien les celui qu’on met à nos pieds pour nous protéger ! Je veux parler ici des chaussons et des bottillons de plongée. L’objet de ce billet est donc bien de faire le point sur ce qui existe, porter quelques points d’attention sur des détails qui ont leur importance, rappeler comment les entretenir au mieux, vous apporter quelques critères de choix, et peut-être vous faire changer de matériel, qui sait ! Comme à mon habitude, je n’ai pas la prétention d’écrire le post définitif sur le chausson de plongée, il ne s’agit ici que de partager ma vision, mon opinion et mon retour d’expérience. Tout cela peut facilement être enrichi de vos propres expériences.
Quelques critères pour choisir un ordinateur de plongée
Je vois souvent la question du choix d’un ordinateur revenir sur les réseaux sociaux, aussi bien que dans mon club de plongée. A chaque fois, la question est formulée sensiblement de la même manière : « Je vais passer mon N? (mettez-y N1, N2, N3 et même N4), à ton avis, quel ordinateur dois-je choisir ? ». Comme la plupart des plongeurs, je suis pris par le premier réflexe qui est de répondre « le même que le mien » ou « celui que j’ai » (et pour cause, si j’ai acheté le modèle « Trucmuche 2000 GTs », c’est que c’est à coup sûr le meilleur ! ), mais ce n’est pas la bonne façon d’aider un plongeur ou une plongeuse en plein questionnement sur cet investissement, d’autant plus que l’offre du marché, est pléthorique, aussi bien du côté des montres, que des ordinateurs de poignet ou des ordinateurs en console, sans compter les ordinateurs « Tek »… Le but principal de ce billet est donc d’apporter une aide aux plongeurs qui se posent ce type de question. Je vais tenter de ne pas avoir d’avis péremptoire et je vais dresser une liste (non exhaustive) de critères à prendre en compte pour aider dans ce choix cornélien.
Vous êtes ceinture ou poches à plomb ?
À l’époque où j’ai démarré la « plongée en scaphandre autonome » (il y a « quelques » semaines ), il n’ y avait pas d’autre solution pour se lester que de se procurer une ceinture de lest, et de la garnir généreusement de plombs de 1 kg (qu’on coulait souvent soi-même !). La règle qu’on employait pour déterminer le nombre d’éléments sur la ceinture était simple et arithmétique : on mettait 1 kg de plomb pour 10 kg de poids ! ainsi si on pesait 70 kg, on plaçait 7 plombs de 1 kg sur la ceinture ! Les choses ont bien changé (fort heureusement), l’idée de ce billet est donc de faire le point sur les systèmes de lestage à notre disposition aujourd’hui, et de vous faire partager ma vision (qui peut bien sûr être contestée, je ne prétends pas détenir la vérité absolue !).
Comment ne plus courir après mes palmes ?
Lorsque nous partons pratiquer notre activité favorite, nous stockons en général plus ou moins bien notre matériel sur le bateau. Certains d’entre eux sont bien conçus et spacieux, de ce fait ils permettent facilement d’isoler ses palmes près de son scaphandre personnel, ou bien de les accrocher sur un rack les unes à côté des autres sur le pont de mise à l’eau (comme sur les navires de croisière en Mer Rouge par exemple). Par contre, quand on plonge depuis un semi-rigide, il est très courant que les palmes se retrouvent empilées les unes sur les autres devant la console, et cela peut être la cause d’un mélange qui peut amener stress et énervement lors de la mise à l’eau. L’idée de ce billet est donc de vous donner quelques idées pour éviter d’avoir « à courir » après vos palmes avant ou après la plongée (en plus c’est assez difficile sur un semi-rigide ! ).
Ma combinaison étanche et la formation qui va avec !
Dans un article récent, je donnais quelques pistes pour aider au choix d’une combinaison de plongée, j’annonçais d’ailleurs dans cet article que je sautais le pas et que je me lançais dans l’investissement d’une combinaison étanche. J’ai réalisé mon achat, et j’ai pu profiter du salon de la plongée pour comparer divers modèles. J’avais restreint mon choix sur quatre modèles. Dans ce billet, je vais présenter les modèles que j’avais « short-listés », ainsi que le modèle qui a emporté ma décision, avec les critères que j’ai retenu. Dans la deuxième partie, je vais présenter la formation à l’utilisation d’une combinaison étanche que je vais suivre au sein du club dont je suis adhérent, le GEASM. Le contenu de cette formation a été mis au point par mon ami C. (que je remercie au passage pour le partage) et qu’il a gentiment accepté de me dispenser. On peut aussi trouver des cursus en ligne tel celui proposé par Patrick Poincelet au sein de la CTR Ile de France, en effet les supports présentant ce type de qualification ne manquent pas sur le sujet …